où est présenté pour la première fois une quarantaine de jardins d'écrivains du passé et d'aujourd'hui, de France et de l'étranger, reflets de leur personnalité et parfois de leur oeuvre
Dans la collection où ont déjà été publiés Jardins de curé et Jardins de monastères, prennent place les Jardins d'écrivains, sujet non traité jusqu'ici.
Il n'existe pas un style propre aux jardins dont ont pu disposer romanciers et poètes et il y a de grandes différences entre eux, tenant à leurs dimensions, à leur localisation, leur caractère et leur origine. Dans certaines propriétés somptueuses ou extravagantes, des écrivains ont laissé libre cours à leur mégalomanie Alexandre Dumas au château de Monte Cristo, Edmond Rostand à Arnaga, D'Annunzio à Il Vittoriale. D'autres, plus modestement mais avec enthousiasme et compétence, ont joué à être eux-mêmes jardiniers : Stéphane Mallarmé, André Gide.
Mais à partir d'une soixantaine d'exemples, choisis dans le passé comme dans le présent, en France et ailleurs, il apparaît que des liens très forts ont uni les écrivains et leurs jardins, marquant leur oeuvre littéraire, ce dont des extraits de textes portent le témoignage, et parfois les jardins eux-mêmes.
• Des pas-à-pas permettant de cultiver facilement une dizaine de fruits et légumes incontournables (tomates, pommes de terre, fraises, radis, aubergines, concombres, basilic...) en pots et en jardinières.
• Des focus pour bien organiser et optimiser son balcon selon les saisons, enrichis d’illustrations détaillées, avec des conseils shopping et des astuces récup pour un potager écoresponsable.
• Des conseils ciblés grâce auxquels vous saurez choisir vos graines, fabriquer votre compost, et maîtriserez différentes techniques indispensables : repiquage, tuteurage, semis, paillage, arrosage...
Un guide parfait pour se rapprocher de l’autonomie alimentaire et du zéro déchet !940/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2312271350001
POTAGERS - JARDINS GOURMANDSCe nouvel opus de l'Œil curieux retrace l'histoire, en images, des fruits et légumes dans les manuscrits et les imprimés. Le propos du livre fait écho aux préoccupations actuelles : intérêt pour les variétés anciennes, développement de pratiques culturales moins agressives, ou redécouverte des vertus de l'autoconsommation. Fruits et légumesDès le Moyen-Age ; fruits et légumes apparaissent dans les herbiers manuscrits médiévaux pour leurs propriétés médicinales. Il s'agit d'espèces indigènes, de fruits introduits par les Romains, ou de plantes cultivées dans les jardins monastiques. Avec La Renaissance et les voyages aux long cours, on assiste à l'introduction de nouvelles espèces. Les plantes mettent toutefois plus de temps à être adoptées par la population qui ne sait comment les cultiver et les préparer. Plus recemment, l'action d'hommes comme Parmentier, avec la pomme de terre, démocratise la culture des plantes. Espèces raresLa création de jardins botaniques et de collections privées vont changer la donne. Il devient alors de bon ton d'entretenir des espèces rares et de faire connaître ses collections au travers de florilèges. Engouement horticoleLe potager du roi Louis XIV, véritable modèle du genre, symbolise un véritable engouement horticole. Le forçage des cultures et les serres alimentent la table royale et parallèlement, la variété de légumes utilisés dans les traités de cuisine français augmente. Fruits exotiquesLes fruits exotiques sont particulièrement recherchés en raison de leur rareté et de la difficulté à les faire pousser sous nos climats tempérés. À la cour, ils sont offerts aux hôtes de marque. Variété et popularitéPeu à peu, les connaissances horticoles se diffusent dans la population grâce à l'action de sociétés savantes et aux revues. De nouvelles espèces sont introduites, des centaines de variétés sont mises au point. Les terroirs se spécialisent et les maraîchers, près des villes, obtiennent plusieurs récoltes par an. SubsistanceL'industrialisation et l'urbanisation éloignent du jardin la population qui s'approvisionne dans les marchés et les commerces. Mais la fonction de jardin de subsistance réapparaît lors de pénuries ou de guerres. Nouvelles pratiquesLa science agronomique permet un accroissement des rendements, des productions plus calibrées, mais s'accompagne également d'une diminution de la diversité. D'où un regain d'intérêt pour les variétés anciennes, le développement de pratiques culturales moins agressives, ou la redécouverte des vertus de l'autoconsommation.380/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2308211350002
ARBRES - LIGNES DE VIEÉlément vital au cœur de l'écosystème, symbole de longévité, de diversité, de beauté, de résilience face aux agressions de tous ordres, source d'inspiration pour les artistes de tous les continents, l'arbre est par ailleurs présent dans l'imaginaire où sa ramure, mais aussi sa force souterraine, nourrit les textes sacrés, les mythes comme la littérature profane. L'arbre est le cœur d'un écosystème regroupant animaux, végétaux et champignons qui dépendent en partie ou entièrement de lui, de même qu'il peut dépendre d'eux pour se reproduire et diffuser ses graines. L'insecte et la plante ont besoin l'un de l'autre pour assurer leur descendance. Une partie de ces relations entre espèces échappe à notre regard car elle se déroule sous terre. Le système racinaire permet à un arbre de communiquer avec ses voisins. Face aux intempéries ou aux ravageurs, l'arbre réagit de manière étonnante et peut avertir ses voisins. Des arbres abattus par le vent voient, symbole de vitalité, un nouveau tronc jaillir du tronc renversé. Le motif de l'arbre de vie se retrouve dans de nombreuses mythologies. L'arbre de la connaissance du bien et du mal, porteur du fruit défendu, en serait une variante biblique. Certains arbres sont devenus des symboles comme le cèdre pour le Liban qui l'a placé au centre de son drapeau. L'arbre sait aussi se faire festif, à l'image de l'arbre de mai, planté au printemps pour célébrer le retour de la fertilité et de la végétation. Quant au sapin de Noël, il s'est imposé dans de nombreux pays, devenant très vite emblématique de cette fête au cœur de l'hiver.
Le mot " livre " tire son origine du latin liber qui désigne aussi la partie intérieure de l'écorce d'un arbre Une belle mise en abyme se produit dans cet opus : les livres sont en effet eux-mêmes supports de représentation de ces arbres qui leur ont donné vie, transformant les riches collections de la Bibliothèque nationale de France en forêt de papier.380/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2308211350001