Du début de la pandémie de coronavirus qui bouleverse nos vies, nous ne savons rien. Fang Fang, écrivaine reconnue et habitante de Wuhan, écrit son journal sur les réseaux sociaux chinois.
Pendant plus de 60 jours de strict confinement, ses écrits sont devenus indispensables à des dizaines de millions de lecteurs. Car l'écrivaine parle avec une irrésistible sincérité. Elle raconte la peur, l'espoir et le chagrin dans une ville de 9 millions de personnes. Elle raconte la mort et le traumatisme, la solidarité des habitants, le chaos du début, le courage des lanceurs d'alerte, la débrouille pour acheter à manger, les plaisanteries et la colère qui circulent, le printemps qui vient dans une ville qu’elle aime et la maladie qui n’en part pas.
Fang Fang refuse le simplisme de la glorification ou du blâme. Témoin et écrivain, elle pleure les morts, salue le courage des humbles, et cherche des responsables à la catastrophe. Pourquoi avoir maintenu le silence sur les dates de début de l’épidémie ? pourquoi avoir assuré pendant vingt jours – dramatiquement précieux – que la maladie ne se transmettait pas d’homme à homme ? Qu'est-ce qui empêche la voix des lanceurs d'alerte d'être entendue ? Ces questions nous concernent, nous qui sommes touchés par cette même catastrophe.
Dans une époque aveuglée par la peur, entre la censure régulière de son journal et les attaques des ultranationalistes, la voix de Fang Fang résonne. Elle nous rappelle, avec chaleur et honnêteté, à nos premiers devoirs face à la catastrophe et au silence politique : l’indépendance d’esprit et l’humanité.
L'HOMME NUOn les appelle les big data. Google, Apple, Facebook, Amazon, ces géants du numérique qui aspirent, à travers Internet, smartphones et objets connectés, des milliards de données sur nos vies. Derrière cet espionnage existe un " pacte secret " scellé par les big data avec l'appareil de renseignement le plus redoutable de la planète. Ensemble, ils sont en train d'enfanter une entité d'un genre nouveau, une puissance mutante qui ambitionne ni plus ni moins de reformater l'Humanité. Pour les big data, la démocratie est obsolète, tout comme ses valeurs universelles. C'est une dictature inédite qui nous menace : une Big Mother bien plus terrifiante encore que Big Brother.
" Ce livre se présente comme le livre noir de la révolution numérique. " Le Figaro littéraire
" Après avoir lu ce livre, vous ne regarderez plus votre iPhone de la même manière. " Le Point
Cet ouvrage a reçu le Prix lycéen " Lire l'économie "430/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2408060881001
LE SURSAUT CORSE - L'IDENTITE PLUTOT QUE L'INDEPENDANCELe temps est venu d’offrir à la Corse une grande mise à jour intellectuelle. Depuis les années 1970, il fallait, pour revendiquer sa culture, sa langue et son identité de peuple autochtone, être une victime de l’Histoire. Un peuple colonisé, une communauté de martyrs et de descendants d’opprimés. Comme d’autres, les mouvements politiques corses ont utilisé cette logique « tiers-mondiste », jusqu’à couper le Peuple corse de façon tout à fait artificielle de son ancrage civilisationnel. Ce mensonge est désormais néfaste. La mutation de la gauche occidentale entraîne cette dernière vers la remise en cause fondamentale des bases traditionnelles de la civilisation (famille, coutumes, hérédités, culture) qui sont les fondations de toute identité autochtone en Europe. Soumis au bon vouloir des élites cosmopolites du continent, les cadres du nationalisme corse glissent de plus en plus vers l’acceptation des folies sociétales. Emprisonné plusieurs années, Nicolas Battini a fait l’expérience d’un européen de culture chrétienne en situation de minorité ethnique. Ce que l’assassinat d’Yvan Colonna par un islamiste a attesté de façon éloquente. Il a réalisé alors que l’important n’était plus du tout la lutte pour l’indépendance mais bien le combat pour la reconquête culturelle.
Militant nationaliste depuis sa prime jeunesse, Nicolas Battini a été incarcéré huit ans. Il a fondé et dirige aujourd’hui le mouvement nationaliste U Palatinu.990/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2406001944156
LES SCENARIOS NOIRS DE L'ARMEE FRANCAISEComment l'armée française se prépare aux conflits des cinq prochaines années. Qu'adviendrait-il si la Russie envahissait les pays baltes? Si Alger et Rabat entraient en conflit? Ou si le Mali tombait en juin prochain aux mains des djihadistes? Si la Chine faisait un blocus de Taïwan? Ou qu'Israël bombardait Téhéran, motivé par un Iran proche d'atteindre la bombe nucléaire?
Un ouvrage passionnant issu d'un travail de plusieurs années auprès des plus hauts gradés de l'armée et des experts: chercheurs, diplomates, personnalités politiques et spécialistes de la défense. Alexandra Saviana déploie onze scénarios parmi les plus probables et dévoile les hypothèses auxquelles se prépare actuellement l'armée française.1,050/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2406030881001
「孩童的身體跟女性的身體是否能夠談判?」 根據許多的源佐證,法國一年有十六萬兒童遭到性暴力,如此令人震驚的情況……這些性暴力就發生在我們周邊、我們眼底,除了受暴事實,這些受害者還要面對揮之不去的陰影和創傷。當這些痛苦的聲音出現時,社會給予他們多少支持與信任?法官Édouard Durand曾任法國兒童性暴力及亂倫問題獨立調查委員會(Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants,Ciivise)主席,他觀察到社會中否認機制的運行。這本書是他個人所提出的結論。如果就像我們太頻繁聽到人家說:「大家都知道……」,那就代表沒有人希望這個事實被接露,大家更傾向「受害者不是受害者,加害者也沒有傷害任何人」這樣的想法。但是我們必須在免責和正義之間做出選擇。受害者的聲音應該被無保留地傾聽;這是第一步,是要進行兒童保護的第一個必要的動作。我們無法避免這一點,而且這勢必會引起社會巨大的不適。
"Le corps des enfants, le corps des femmes, négociables ou non négociables ?" Édouard Durand
Le constat est effroyable, appuyé désormais sur d'innombrables témoignages : 160000 enfants sont sexuellement violentés chaque année en France... Elles sont là, à nos côtés, sous nos yeux, ces victimes, s'ajoutant à la foule des traumatisés d'un passé qui ne passe pas. Quel crédit la société porte-t-elle à ces voix de souffrance, lorsqu'elles ont osé se faire entendre ? Le juge Édouard Durand, qui a dirigé les travaux de la Ciivise pendant trois ans avant de s'en voir retirer la charge, a observé les mécanismes de déni encore à l'oeuvre dans la société. Il livre ici ses conclusions personnelles. Si, comme on l'entend encore trop souvent, "tout le monde savait", c'est que personne au fond ne voulait que ça se sache ; on préférerait que les victimes ne soient pas des victimes et que les criminels n'aient agressé personne. Mais entre l'impunité et la justice, il faut choisir. La parole des victimes doit être entendue sans arrière-pensée ; c'est là que tout commence, le premier geste non négociable de la protection de l'enfance. On ne pourrait aujourd'hui s'y soustraire sans créer un immense malaise.220/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2403040881001