LA SAGESSE DE L'HOMME BOUDDHISME, PAGANISME, SPIRITUALITE CHRETIENNE - BOUDDHISME-PAGANISME-SPIRITUA
LA SAGESSE DE L'HOMME BOUDDHISME, PAGANISME, SPIRITUALITE CHRETIENNE - BOUDDHISME-PAGANISME-SPIRITUA
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Trop souvent, les sagesses ont été considérées, au mieux comme les dociles servantes des religions, le plus souvent comme de prudentes et médiocres manières de vivre. La présente étude, qui s'appuie sur une enquête comparative inédite (bouddhisme, yoga, spiritualité chrétienne et paganisme antique), remet en cause cette conception erronée et restitue enfin aux sagesses leur fascinante et vigoureuse personnalité. En effet, par leur refus de tout merveilleux, par leur éthique résolue, par leur intransigeance autant que par l'efficacité de leurs " techniques mentales ", elles méritent sans doute d'être tenues pour l'une des grandes conquêtes de l'humanité. Grâce à elles, au regard lucide qu'elles les invitaient à porter sur eux-mêmes et sur leur condition, les hommes découvrirent les moyens d'aguerrir et de fortifier leur personnalité. L'on vérifiera que " sagesses " et " religions " s'opposent en tous points. Le sage n'est pas le disciple d'un quelconque homo religiosus obsédé par l'au-delà, immergé dans un flux sacré et fasciné par les dieux. Afin de lui permettre d'affronter la mort et les souffrances de cette vie, ce sage admirable a simplement appris à l'homme le redoutable honneur d'acquiescer. Mais dans cet acquiescement réside peut-être le plus haut témoignage d'humanité qu'il soit possible d'imaginer. En ce sens, son enseignement reste aussi indispensable qu'actuel.
DICTIONNAIRE DES TEMPS SACRESDans les religions et spiritualités, le temps est une notion clé. Non seulement parce qu'elles rythment le quotidien des croyants ou des fidèles... Dans les religions et spiritualités, le temps est une notion clé. Non seulement parce qu'elles rythment le quotidien des croyants ou des fidèles, mais aussi parce qu'elles ont parfois l'ambition de maîtriser le temps, de le dominer. Ce dictionnaire parcourt les quatre coins du globe, et rend compte du rapport que les différentes formes de spiritualité entretiennent avec le temps. Avec ses 170 entrées, il aborde aussi bien le temps cosmologique, celui des grands mythes fondateurs, que le temps célébré et fêté, sans oublier le temps sacré, celui qui n'est pas institutionnalisé. Avent, Ramadan, Jeûne, Prière, Hannouka, Création, etc. : ce dictionnaire qui mobilise anthropologues, historiens, sociologues et théologiens aborde aussi bien des pratiques ou des fêtes propres à une croyance que des notions que l'on retrouve dans diverses spiritualités. 880/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2312271580002
Pourquoi sapiens est-il aussi un Homo spiritus : le seul animal qui cherche à donner du sens à sa vie, pratique des rituels funéraires, invente de grands récits collectifs et croit bien souvent en des forces invisibles ?
Frédéric Lenoir tente de répondre à ces questions essentielles et montre, au fil de ce voyage dans le temps, la corrélation entre les grandes révolutions spirituelles et les bouleversements des sociétés humaines : de la sédentarisation au monde connecté, en passant par la naissance des cités, des civilisations, des empires et de la modernité. Après le succès international de Sapiens de Yuval Noah Harari, ce livre de Frédéric Lenoir, fruit de plus de trente années de recherches, nous raconte, dans un langage simple et accessible, la prodigieuse histoire d'Homo spiritus et du sacré, de la Préhistoire à nos jours.
Frédéric Lenoir est philosophe, sociologue et écrivain. Il a vendu plus de dix millions de livres et il est traduit dans vingt-cinq langues.1,350/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2312271580001
LA PENSEE EUROPEENNE DES RELIGIONS, TOME 2Dieu, Kyrios, Deus, Notre Père, Iahvé, Elohim, Adonaï, Jésus ou Allah ont indéniablement un " air de famille ". Cela ne veut pas dire qu'on puisse les traduire les uns dans les autres sans précaution ni qu'ils soient identiques comme le laissent entendre un peu vite ceux qui prônent la notion de " religions abrahamiques ". Il n'en demeure pas moins que ces trois religions se réfèrent à des Révélations. Elles nous recommandent de croire que Dieu s'est révélé lui-même, de diverses manières selon qu'on soit juif, chrétien ou musulman. Philippe Borgeaud insiste sur un point névralgique : pour l'historien ou l'anthropologue, l'islam, le christianisme, le judaïsme, le bouddhisme, l'animisme ou l'hindouisme n'existent pas en tant que tels, pas plus que les dieux auxquels on les associe. Il n'y a de religion que dans les paroles, les sentiments et les actes de ceux qui s'en proclament les acteurs ou les adversaires. Pour saisir cette divergence fondamentale, entre le sens commun et l'observation des sciences humaines, comparer les croyances entre elles est indispensable. Tout en interrogeant notre présent, posant la question de savoir si on peut encore " afficher de l'incroyance ", Borgeaud analyse les systèmes de pensée religieuse. Dans ce livre, il nous propose de repenser les mythes et les récits fondateurs qui ont contribué à transformer des pratiques et des croyances ancestrales en " religions " modernes.1,270/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2205011580001
LA GRANDE MARIE OU LE LUXE DE SAINTETEAprès la caravelle ayant traversé l'Atlantique, imaginons une barque qui remonte le fleuve Saint-Laurent, entre ses rives escarpées, depuis Tadoussac et accoste à Québec le 1er août 1639. Dans cette barque, trois religieuses ursulines, dont l'une, ayant quitté son couvent de Tours, dotée d'un fort tempérament, aussi bien tourné vers l'action que vers la mystique, apparaît déjà comme une figure centrale : Marie de l'Incarnation. N'imaginons plus. À quatre siècles de distance, c'est son portrait que brosse ici, d'une main leste, d'un oeil admiratif, l'écrivain Carl Bergeron, séduit par la force de caractère, les qualités d'organisatrice et le grand talent d'épistolière d'une femme portée par un désir d'absolu. À travers le prisme de ce destin hors du commun, Carl Bergeron interroge la société québécoise, notre époque, ses facilités, son amnésie souvent. D'un même coup de fleuret, il égratigne l'université quand elle n'est que refuge, l'esprit bourgeois quand il n'est que calcul. Plus que tout, son chant d'amour à la « Grande Marie », aussi beau que nécessaire, est tourné vers l'avenir : « N'allons pas croire, naïfs que nous sommes, que Marie est morte en 1672 et qu'elle s'est arrêtée là. [...] Il se pourrait que le XXIe siècle fasse de Marie de l'Incarnation une contemporaine, et la ressuscite plus proche et vibrante à notre conscience qu'un Proust, un Céline ou un Joyce. »830/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2110001504543