VOGUE - LIVRES-POSTERS - 22 PLANCHES DETACHABLES EN COULEURS
VOGUE - LIVRES-POSTERS - 22 PLANCHES DETACHABLES EN COULEURS
商品編號:
2105001423775
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014300923
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9782717728637
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商品說明
L'édition française de Vogue a 100 ans : retour en images sur les années 1920-30 de ce magazine de mode mythique grâce aux 22 planches détachables choisies parmi les plus belles couvertures... Une façon originale de remonter le cours de la mode et de (re)découvrir les grands illustrateurs de ces deux décennies, qui ont fait le succès du magazine. L'édition française de Vogue a 100 ans Fondée en 1892 par Arthur Baldwin Turnure, et rachetée en 1909 par Condé Nast, Vogue est devenue au fil des années la revue américaine de mode incontournable. Prônant élégance et modernité, elle s'adresse aux classes les plus aisées de la société, friandes des dernières tendances mais aussi d'art moderne et de chroniques mondaines. Homme d'affaire avisé, Condé Nast a très tôt l'idée d'internationaliser Vogue et d'en décliner des éditions étrangères. En juin 1920, il lance l'édition française, Vogue Paris, qui trouve rapidement son public en exaltant élégance et bon goût, grâce notamment aux pages illustrées en couleurs mettant en lumière les dernières créations de grands couturiers.
Vogue, magazine de mode Feuilleter les anciens numéros de Vogue, c'est donc d'abord remonter le cours du temps, retrouver sur les couvertures tenues et accessoires emblématiques comme le fume-cigarette, ou encore les robes dites charleston des années folles. Bien plus qu'une simple revue de mode, Vogue est aussi un miroir de la société de l'entre-deux-guerres. L'esprit de l'époque ainsi que certains changements s'y révèlent. Sur les couvertures, la représentation de la femme évolue : glamour et très féminine, garçonne aux cheveux courts, sportive en pantalon...
Vogue, magazine illustré Cette sélection de couvertures montre aussi quelle place Vogue accorde à l'illustration dès son lancement. Parmi les grands dessinateurs de Vogue, mentionnons Helen Dryden, qui a illustré la couverture du premier numéro de l'édition française, George Wolfe Plank, Georges Lepape, Eduardo Garcia Benito, Christian Bérard, René Bouët-Willaumez ou encore Carl Erickson. La grande variété de styles des illustrations à travers les décennies a largement contribué à la renommée de la revue. À partir des années 30, les dessins à l'intérieur du magazine sont peu à peu remplacés par des photographies artistiques, encore en noir et blanc, qui feront bientôt aussi les couvertures, se substituant définitivement à l'illustration. Ce livre-poster dévoile l'âge d'or des couvertures illustrées de Vogue. Sa parution coïncidera avec l'exposition que le palais Galliera consacre au centenaire du magazine iconique au printemps 2021, " Vogue, 1920-2020 ".
FAIRE L HISTOIRE DE L ART EN FRANCE (1890-1950) - PRATIQUES, ECRITURES, ENJEUXEn explorant l’histoire de l’art en France de 1890 à 1950, le parcours de ses acteurs, et la diversité de ses publics, cet ouvrage révèle l’image d’une discipline en pleine transformation, expérimentant de nouvelles méthodes appliquées à de nouveaux objets.
L’histoire de l’art produite en France pendant la première partie du XXe siècle est assez peu présente dans les ouvrages classiques étudiant l’évolution de la discipline. Au-delà de quelques figures pionnières et d’œuvres fondatrices, comme celles d’Émile Mâle ou d’Henri Focillon, la production historiographique des années 1890-1950 n’est pas réputée avoir produit de mutations décisives, ni dans la méthodologie de l’histoire de l’art, ni même dans la définition de son objet.
Cette période est pourtant marquée par un foisonnement intellectuel sans précédent, qui a inspiré une large gamme de publications savantes, d’ouvrages de vulgarisation et d’expositions. En explorant à la fois les modalités concrètes de cette production, le parcours de ses acteurs, les concepts fondamentaux de la discipline et la diversité de ses publics, cet ouvrage révèle l’image d’une histoire de l’art plus ouverte, plus expérimentale, en un mot plus moderne que celle qu’on connaissait jusqu’à présent.1,430/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2407001956426
HENRI FOCILLONFigure tutélaire de l'histoire de l'art français, Henri Focillon (1881-1943) fut professeur d'histoire de l'art à l'université de Lyon et directeur des musées de la ville de 1913 à 1924. Il enseigna ensuite à la Sorbonne, au Collège de France puis aux Etats-Unis où il choisit de s'exiler. Tout au long de sa carrière, Focillon marqua plusieurs générations d'élèves, mais aussi de lecteurs éblouis par l'ampleur de son savoir comme par ses qualités d'écrivain. La diversité des sujets abordés - de la sculpture romane à la peinture de son temps - et l'éventail des périodes prises en compte reflètent la richesse de ses intérêts et son goût pour les chemins de traverse. Cet ouvrage, qui réunit les études de plusieurs spécialistes français et étrangers, évoque ainsi les différentes facettes de sa pratique d'historien de l'art et les étapes de sa carrière : son engagement dans le siècle, la multiplicité de ses objets de recherche, mais aussi sa prédilection pour le domaine de l'estampe, occidentale ou orientale. L'analyse comparée des travaux de Focillon et de ses grands contemporains, notamment en Allemagne et en Italie, permet d'inscrire sa démarche dans un faisceau de relations au sein desquelles émerge sa singularité. Loin de ne constituer qu'un simple hommage au plus fameux des historiens de l'art français du XXe siècle, cet ouvrage collectif offre enfin l'occasion de s'interroger de façon critique sur l'héritage d'Henri Focillon : ce qu'il reste aujourd'hui, dans nos pratiques et nos méthodes, de l'œuvre intellectuelle de l'auteur de la Vie des formes. Le colloque, dont ces actes rendent compte, a été organisé par l'INHA et l'université Lumière Lyon 2 en mars 2004.1,290/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2407001956382
HISTOIRE DE L ART N 92 : REPRODUCTIONS DECEMBRE 2023Outil indispensable à la diffusion et à la connaissance des oeuvres, la reproduction est omniprésente dans la culture visuelle contemporaine. Loin de seulement susciter une « perte d’aura », selon la formule de Walter Benjamin, elle est un instrument majeur de l’histoire de l’art, utilisée par les chercheurs de manière si régulière qu’ils en oublient parfois son caractère interprétatif. Le numéro Reproductions invite à considérer sur un temps long l’ensemble des techniques de reproduction et leurs usages. La reproduction permet le passage d’un médium à l’autre : ainsi, dans le cas de la tapisserie, Marie Cuttoli commande des modèles à des artistes phares des années 1930 et 1960 ; croisant gravure et photographie, Nicéphore Niépce met au point l’héliographie ; en sculpture, Vincenzo Vela s’inspire de la photographie et du moulage. Les techniques d’agrandissement (Auguste Rodin et le pantographe) et de réduction (l’édition de bronzes à Paris au XIXe siècle) sont aussi étudiées. Une attention particulière est prêtée aux acteurs et aux circuits de diffusion, depuis la création d’Agnus Dei dans la Rome moderne jusqu’au soutien apporté à la gravure d’interprétation par la Chalcographie du musée du Louvre, en passant l’apparition du tirage limité des estampes au XVIIe siècle. Ce numéro questionne ainsi les usages multiples de la reproduction. Si elle s’avère utile pour l’étude et l’apprentissage, comme dans le cas des collections de moulages lyonnaises ou des conférences accompagnées de projections lumineuses par Raphaël Gaspéri dans le sud de la France au début du XXe siècle, elle peut aussi être parfois trompeuse, à l’exemple des manipulations photographiques effectuées par les éditions Cahiers d’art pour magnifier des objets préhistoriques ou des usages parfois controversés de moulages par la galerie Demotte. Apparaît ainsi clairement le potentiel (dé)formateur de la reproduction, qui entre enfin dans le champ des pratiques muséographiques, patrimoniales et artistiques, comme en témoignent une enquête sur le mobilier traditionnel menée par le musée national des Arts et Traditions populaires dans les années 1940 ; le développement des expositions immersives qui trouvent leur origine dès les années 1960 ; les performances phares du XXe siècle rejouées sur Second Life par Eva et Franco Mattes ; ou encore la reprise en 2010 à Eindhoven d’un dispositif muséographique conçu par Lina Bo Bardi. Par l’analyse de ces réinterprétations multiples, ce numéro d’Histoire de l’art souligne la richesse des processus reproductifs.1,380/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2407001956365