RE APPROPRIATIONS DES SAVOIRS. ACTEURS, TERRITOIRES, PROCESSUS, ENJEUX
RE APPROPRIATIONS DES SAVOIRS. ACTEURS, TERRITOIRES, PROCESSUS, ENJEUX
商品編號:
2205011960001
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196000213
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9782858313860
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Réflexion croisées et comparatives sur le concept et l'usage d'appropriation, réappropriation de savoirs et de savoir-faire, centrant les analyses du point de vue des acteurs et s'intéressant au pouvoir d'initiative et stratégies. Réflexion sur le concept d'appropriation ou de réappropriation de savoirs et de savoir-faire, s'intéressant au pouvoir d'initiative et aux stratégies qu'ils déploient dans la production et l'usage des savoirs.Terrains étudiés : Afrique sub-saharienne, Côte d'Ivoire, Maroc, Mexique, Haïti, Inde, Chine, Iran, France. réflexions croisées d'anthropologues, historiens, sociologues, géographe et spécialiste d'histoire littéraire. Les travaux dépassent la description des savoirs et savoir-faire considérés comme exogènes ou bien redécouverts. Les études permettront des approches comparatives.
LE VAUDOU HAITIEN"Le vaudou appartient à notre monde moderne, sa langue rituelle dérive du français et ses divinités se meurent dans un temps industrialisé qui est le nôtre ; ne serait-ce qu'à ce titre, il relève de notre civilisation".750/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2401301960001
AU COMMENCEMENT ETAIT... - UNE NOUVELLE HISTOIRE DE L'HUMANITEVoici l'édition Poche collector du grand livre de davdi Graeber et David Wengrow. Depuis des siècles, nous nous racontons sur les origines des sociétés humaines et des inégalités sociales une histoire très simple. Pendant l’essentiel de leur existence sur terre, les êtres humains auraient vécu au sein de petits clans de chasseurs-cueilleurs. Puis l’agriculture aurait fait son entrée, et avec elle la propriété privée. Enfin seraient nées les villes, marquant l’apparition non seulement de la civilisation, mais aussi des guerres, de la bureaucratie, du patriarcat et de l’esclavage. Ce récit pose un gros problème : il est faux.710/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2401081960001
LA MORT A L'OEIL NULa douleur du deuil et notre impuissance devant la mort sont inscrits au plus profond de notre histoire et s'expriment avec force dès les premiers écrits de l'humanité... La douleur du deuil et notre impuissance devant la mort sont inscrits au plus profond de notre histoire et s'expriment avec force dès les premiers écrits de l'humanité. Les sociétés humaines ont ainsi déployé bien des efforts depuis la préhistoire pour apprivoiser la mort. À travers le fil conducteur des rites funéraires, leur temporalité et leur matérialité, le lecteur est convié à découvrir des pratiques anciennes, des croyances d'ailleurs ou des invariants universels qui invitent à repenser la mort et notre relation aux absents. Des premières sépultures datées de plus de 100 000 ans aux " funérailles bio " du XXIe siècle, en passant par la célébration de la " fête des morts ", la communication avec les défunts ou le devenir des ossuaires, cet ouvrage explore la diversité et la richesse du rapport à la mort, et souligne ainsi notre capacité à nous accommoder de notre funeste destin.
La figuration n’est pas tout entière livrée à la fantaisie expressive de ceux qui font des images. On ne figure que ce que l’on perçoit ou imagine, et l’on n’imagine et ne perçoit que ce que l’habitude nous a enseigné à discerner. Le chemin visuel que nous traçons spontanément dans les plis du monde dépend de notre appartenance à l’une des quatre régions de l’archipel ontologique : animisme, naturalisme, totémisme ou analogisme. Chacune correspond à une manière de concevoir l’ossature du monde, d’en percevoir les continuités et les discontinuités, notamment les diverses lignes de partage entre humains et non-humains.
Masque yup’ik d’Alaska, peinture sur écorce aborigène, paysage miniature de la dynastie des Song, tableau d’intérieur hollandais du XVIIe siècle : par ce qu’elle montre ou omet de montrer, une image révèle un schème figuratif particulier, repérable par les moyens formels dont elle use, et par le dispositif grâce auquel elle pourra libérer sa puissance d’agir. En comparant avec rigueur des images d’une étourdissante diversité, Philippe Descola pose magistralement les bases théoriques d’une anthropologie de la figuration.
Philippe Descola
Médaille d’or du CNRS, Professeur émérite au Collège de France, il développe une anthropologie comparative des rapports entre humains et non-humains qui a révolutionné à la fois le paysage des sciences humaines et la réflexion sur les enjeux écologiques de notre temps.1,040/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2309191960001