Henri Reille a toujours préféré l’ennui aux ennuis. Quand la plupart des gens tentent par tous les moyens de se distinguer de leurs semblables, il s’ingénie à ne se différencier en rien de quiconque. Ponctuel, il quitte chaque matin à 7h52 précises le 32 rue du Lavoir à Belprat, pour être à 8h au bureau où il exerce l’expertise comptable. La seule chose en ce bas monde qui puisse lui faire perdre son sang-froid serait le vol de ses boutons de manchette légués par son grand-père. Et c’est exactement ce qui va lui arriver. Malgré lui, il commet l’irréparable et devient un fugitif. À ses trousses : un mystérieux homme au chapeau et à la gabardine qui va le traquer, des archives de Munich au bateau de fortune dont le capitaine n’a de marin que la vareuse, de Grand Central Terminal à la frontière du Mexique qu’il est le seul à franchir clandestinement dans ce sens. Une cavale effrénée qui va enfin donner une histoire à celui qui n’en avait pas. Une épopée renversante, portée par une plume jubilatoire et un don pour le rocambolesque.
« Captivant, drôle, inattendu et remarquablement écrit : ce premier roman a tout pour plaire. » Point de Vue
« Nicolas Carreau, le « Monsieur Livres » d’Europe 1, partage dans ce premier roman bondissant sa passion pour les bonnes et grandes histoires. » Le Journal du Dimanche
« Avec beaucoup d’humour et de finesse, le journaliste littéraire d’Europe 1 nous embarque dans une aventure jubilatoire, qui décoiffe. » Télé 7 jours
« Le premier roman du journaliste d’Europe 1 Nicolas Carreau est un dessin de Sempé qui basculerait soudainement dans le picaresque burlesque. » L'Express
« Une épopée tourbillonnante qui décoiffe. Délicieux. » S le Magazine
« Plume brillante, expressions émouvantes, réflexions sur ce que nous sommes dans ce monde, miroir de chacun de nous en mode twitter ou Instagram, Nicolas est un auteur à connaître et à reconnaître sans tarder. » Paris Match
« Un homme sans histoires est un roman loufoque sur l’absurdité de l’existence et sur les récits familiaux, qui ont le vent en poupe » Libération
« Sa plume déliée galope à bride abattue et révèle une épopée trépidante où l’humour le dispute au rocambolesque. » Le Figaro Magazine
« Ce premier roman de Nicolas Carreau, est une comédie tendre et acide, portée par une écriture enjouée. » Le Parisien Week-end
« Un livre loufoque, profond, captivant porté par une très jolie plume. » France Info TV
« Surtout, offrez-vous ce drôle et charmant roman, plein d’énergie et d’ironie. Nicolas Carreau s’est laissé aller à toute sa fantaisie pour faire rebondir Henri d’un continent à l’autre. On sent qu’il s’est bien amusé. Nous aussi. » Psychologies
« Nicolas Carreau signe un premier roman réjouissant et virevoltant qui prouve que les promesses ont le pouvoir de nous mener loin, quand on les tient. » Prima
TOUT LE MONDE AIME CLARAClara voit au-delà des apparences. Ceux qui la connaissent la redoutent autant qu'ils l'admirent. Car elle ne prédit pas seulement l'avenir, elle l'éveille.1,100/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058520
PATRONYMEAttendue sur le plateau de La Grande Librairie pour parler de son livre, Le Consentement, l’autrice est appelée par la police pour venir reconnaître le corps sans vie de son père, qu’elle n’a pas revu depuis dix ans. Dans l’appartement de banlieue parisienne où il vivait, et qui fut jadis celui de ses grands-parents, elle est confrontée à la matérialisation de la folie de cet homme toxique, mythomane et misanthrope, devenu pour elle un étranger. Tandis qu’elle s’interroge, tout en vidant les lieux, sur sa personnalité énigmatique, elle tombe avec effroi sur deux photos de jeunesse de son grand-père paternel, portant les insignes nazis. La version familiale d’un citoyen tchèque enrôlé de force dans l’armée allemande après l’invasion de son pays par le Reich, puis déserteur caché en France par celle qui allait devenir sa femme, et travaillant pour les Américains à la Libération avant de devenir « réfugié privilégié » en tant que dissident du régime communiste, serait-elle mensongère ? C’est le début d’une traque obsessionnelle pour comprendre qui était ce grand-père dont elle porte le nom d’emprunt, quelle était sa véritable identité, et de quelle manière il a pu, ou non, « consentir », voire collaborer activement, à la barbarie. Au fil de recherches qui s’étendront sur deux années, s’appuyant sur les documents familiaux et les archives tchèques, allemandes et françaises, elle part en quête de témoins, qu’elle retrouvera en Moravie, pour recomposer le puzzle d’un itinéraire plausible, auquel il manquera toujours des pièces. Comment en serait-il autrement dans une Tchécoslovaquie qui a changé cinq fois de frontières, de nationalité, de régime, prise en tenaille entre les deux totalitarismes du XXème siècle ? À travers le parcours accidenté d’un jeune homme pris dans la tourmente de l’Histoire, c’est toute la tragédie du XXème siècle qui ressurgit, au moment où la guerre qui fait rage sur notre continent ravive à la fois la mémoire du passé et la crainte d’un avenir de sauvagerie. Dans ce texte kaléidoscopique, alternant fiction et analyse, récit de voyage, légendes familiales, versions alternatives et compagnonnage avec Kafka, Gombrowicz, Zweig et Kundera, Vanessa Springora questionne le roman de ses origines, les péripéties de son nom de famille et la mythologie des figures masculines de son enfance, dans une tentative d’élucidation de leurs destins contrariés. Éclairant l’existence de son père, et la sienne, à l’aune de ses découvertes, elle livre une réflexion sur le caractère implacable de la généalogie et la puissance dévastatrice du non-dit.1,210/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002057899
EUGENIE GRANDETEugénie Grandet, qui passe pour l'un des modèles du réalisme balzacien, est une "histoire vulgaire, le récit pur et simple de ce qui se voit tous les jours en province", écrit Balzac dans sa Préface de 1833. C'est surtout le grand roman de l'argent et de l'avarice, incarnée par l'un des personnages les plus célèbres de La Comédie humaine : le père Grandet. Balzac, selon Lamartine, a dans cette oeuvre drôle et satirique "cent fois dépassé l'incomparable Molière". Mais Eugénie Grandet est aussi le roman de l'attente et de l'ennui, l'histoire déchirante d'une Pénélope sublime, éprise de son cousin de Paris, frivole dandy à qui elle sacrifiera tout... Ainsi que l'écrivait Sainte-Beuve, ce récit frôle le "chef-d'oeuvre qui se classerait à côté de tout ce qu'il y a de mieux et de plus délicat parmi les romans en un volume".170/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002057805
LA LIBRAIRIE DES LIVRES INTERDITSTous les héros ne portent pas de cape. Certains ont des livres. --- Mitch, libraire passionné, est arrêté un matin pour un crime impensable : il a transgressé la loi en vendant des livres interdits.
Après cinq années de prison, il n'a qu'un désir, retrouver sa liberté et sa librairie. Mais le destin en décide autrement. Le même jour, Mitch croise le procureur qui l'a fait condamner et rencontre Anna, une jeune chef qui pourrait bien être la femme de sa vie.
Que faire quand on est pris entre une irrépressible envie de vengeance et une irrésistible envie d'aimer ? Peut-on rêver d'un avenir sans s'être acquitté du passé ?
Une comédie brillante et engagée qui donne le goût de lire et d'aimer.