Une oeuvre n'est jamais complète. Elle peut l'être plus, elle peut l'être moins. Depuis la mort de l'auteur, en 1968, on n'a pas cessé de découvrir des textes nouveaux de Jean Paulhan. Manuscrits, dactylogrammes, lettres en forme de traité, réponses à des enquêtes, publications devenues inaccessibles, les références se sont accumulées au point de modifier les contours de l'oeuvre entier. Il arrive même que l'on hésite sur une attribution, et ce n'est pas sans un certain plaisir. Paulhan commence sa carrière à vingt ans, en 1904, en signant un compte rendu sur la fatigue. Dès 1907, c'est-à-dire avant tout le monde, il publie un article sur Freud. De 1908 à 1910, il s'emploie à "sauver" la poésie malgache. Qu'en sera-t-il de la poésie française ? Paulhan cavale en amazone sur le mouvement Dada, prêt à sauter, et d'une attention confondante à l'adresse de tous les poètes. Prendre langue avec Paulhan ne revient pas seulement à prendre acte de la littérature. Dans ce premier volume, consacré aux récits, un corps rêve en pleine guerre. Un esprit résiste. Un homme voyage. Il n'est pourtant question que de langage ; et voilà pourquoi les récits de Paulhan tiennent devant l'Histoire. Critique, peinture, politique trouveront leur place dans les sept volumes prévus, d'où le visage de Jean Paulhan pourrait bien sortir changé, et plus vrai, comme celui d'une bonne part de la littérature de son siècle. Le lecteur sera donc bien inspiré de prendre garde à son esprit. Car le langage est chose, et chose utile, et mieux encore." Bernard Baillaud.
LE BASTION DES LARMES1,160/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2408001965327
EN L'ABSENCE DES HOMMESÉté 1916. Vincent fait la connaissance d'Arthur, jeune soldat qui tente d'échapper pour quelques jours à l'horreur des tranchées. Dans le même temps, il attire l'attention de l'écrivain mondain et renommé Marcel Proust. Le temps de ce bel été, l'un va devenir l'amant, l'autre l'ami. Comme deux fragiles éclats de bonheur au milieu de la tragédie.
" Étonnant, envoûtant premier roman que celui de Philippe Besson ! " Michèle Gazier – Télérama
Cet ouvrage a reçu le Prix Emmanuel-Roblès
Prix Emmanuel-Roblès - 2001 ; Prix premier roman de Culture et Bibliothèques pour Tous de la Sarthe - 2001440/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2408001963193
J'AIME« Sur Instagram, elle est suivie par plus de sept cent trente mille personnes. Dont moi. Je connaissais Lou par coeur - et pourtant je ne l'avais jamais rencontrée. »
Sur les réseaux sociaux, Lou est la reine de son univers. Suivie et adulée, tout lui réussit.
Diane l'observe à distance, comme les autres, peut-être davantage. Jusqu'à ce qu'une relation complexe se noue entre les deux jeunes femmes, dans l'inconscience du drame qui se prépare.
Avec ce premier roman, Camille Yolaine livre un conte cruel sur les jeux d'influence en amitié et sur les réseaux sociaux, où l'admiration n'est que la face cachée de la jalousie. Elle est elle-même suivie par plus de 500 000 abonnés sur Instagram.990/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2408001961645
Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.1,900/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2408001961631