Pour bien commencer l’année, les Cahiers invitent leurs lecteurs à se projeter en 2024 avec les films que la rédaction attend avec le plus de curiosité. Entretiens, photos et documents inédits fournis par les cinéastes présentent ces sorties à venir. Et cela dans le même numéro où l’on dévoile le top de nos lecteurs et lectrices, une façon de faire bilan avant de se projeter dans l’avenir, mais aussi de montrer notre reconnaissance à votre fidélité.
La revue pense aussi le présent brûlant, par le prisme du cinéma : la guerre en cours à Gaza, mise en perspective à travers quelques titres essentiels avec lesquels le cinéma a pu apporter un temps de réflexion, un article sur les films qui s’y tournent en ce moment, et deux entretiens sans fard avec le diplomate et penseur Elias Sanbar et le cinéaste Avi Mograbi.
Le Cahier critique du mois, ouvert sur l’excellent film de Todd Haynes May December, qui donne à ce numéro son image de couverture (l’actrice Natalie Portman), s’intéresse aussi au polémique La Zone d’intérêt de Jonathan Glazer (enrichi d’un entretien avec son sound designer), ainsi qu’aux nouveaux films de Sofia Coppola et Wang Bing. Il fait également la part belle aux découvertes et « sorties de route » que sont La Grâce, L’Homme d’argile ou Mambar Pierrette. Finalement, on vous propose un point de vue discordant sur le par ailleurs célébré Pauvres créatures de Yórgos Lánthimos.
2024 commence en voyage aussi en ce qui concerne les reprises ou l’édition en DVD de films plus anciens : le maître du film de sabre japonais Kenji Misumi, l’infatigable documentariste libanaise Jocelyne Saab, ou le Burkinabé Idrissa Ouedraogo – une attention au cinéma erronément dit « de patrimoine », mais vivant et vibrant, que vient compléter la rubrique « Cinéma retrouvé » consacrée à Roberto Rossellini et à ses rapports complexes avec la notion de réalisme.
Enfin, les Cahiers poursuivent leur conversation de fond avec ceux qui font le cinéma : le chef opérateur américain Ed Lachman, collaborateur historique de Todd Haynes, entre autres, revient sur son travail et ses influences, notamment photographiques, dans l’entretien illustré de la rubrique « Au travail ».
CAHIER DU CINEMA N 805 - JANVIER 2024Pour bien commencer l’année, les Cahiers invitent leurs lecteurs à se projeter en 2024 avec les films que la rédaction attend avec le plus de curiosité. Entretiens, photos et documents inédits fournis par les cinéastes présentent ces sorties à venir. Et cela dans le même numéro où l’on dévoile le top de nos lecteurs et lectrices, une façon de faire bilan avant de se projeter dans l’avenir, mais aussi de montrer notre reconnaissance à votre fidélité.
La revue pense aussi le présent brûlant, par le prisme du cinéma : la guerre en cours à Gaza, mise en perspective à travers quelques titres essentiels avec lesquels le cinéma a pu apporter un temps de réflexion, un article sur les films qui s’y tournent en ce moment, et deux entretiens sans fard avec le diplomate et penseur Elias Sanbar et le cinéaste Avi Mograbi.
Le Cahier critique du mois, ouvert sur l’excellent film de Todd Haynes May December, qui donne à ce numéro son image de couverture (l’actrice Natalie Portman), s’intéresse aussi au polémique La Zone d’intérêt de Jonathan Glazer (enrichi d’un entretien avec son sound designer), ainsi qu’aux nouveaux films de Sofia Coppola et Wang Bing. Il fait également la part belle aux découvertes et « sorties de route » que sont La Grâce, L’Homme d’argile ou Mambar Pierrette. Finalement, on vous propose un point de vue discordant sur le par ailleurs célébré Pauvres créatures de Yórgos Lánthimos.
2024 commence en voyage aussi en ce qui concerne les reprises ou l’édition en DVD de films plus anciens : le maître du film de sabre japonais Kenji Misumi, l’infatigable documentariste libanaise Jocelyne Saab, ou le Burkinabé Idrissa Ouedraogo – une attention au cinéma erronément dit « de patrimoine », mais vivant et vibrant, que vient compléter la rubrique « Cinéma retrouvé » consacrée à Roberto Rossellini et à ses rapports complexes avec la notion de réalisme.
Enfin, les Cahiers poursuivent leur conversation de fond avec ceux qui font le cinéma : le chef opérateur américain Ed Lachman, collaborateur historique de Todd Haynes, entre autres, revient sur son travail et ses influences, notamment photographiques, dans l’entretien illustré de la rubrique « Au travail ».440/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2401001882112
CAHIERS DU CINEMA N 761 - LES ANNEES 2010 - DECEMBRE 2019Numéro spécial « Les années 2010 ». Les Cahiers du Cinéma dressent le bilan d'une décennie de cinéma en 50 pages. À la traditionnelle et très attendue liste des 10 meilleurs films de la décennie selon la rédaction des Cahiers, s'ajoutent les tops 10 de près de quarante cinéastes français et étrangers. Comment le cinéma a-t-il changé en dix ans ? Quelles sont les grandes tendances esthétiques apparues au cours de la décennie ? Comment le cinéma a-t-il accompagné la marche du monde ? En textes et en images, la rédaction revient sur ces grandes évolutions et sur les films les plus marquants. Également au sommaire : L'actrice iconique Mireille Perrier nous confie ses souvenirs et des documents personnels ; rencontre avec le cinéaste palestinien Elia Suleiman, de retour avec It Must Be Heaven ; découverte du cinéma soudanais, et toute l'actualité du cinéma.320/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2009001297386